Le discours économique et financier s’illustre par l’utilisation de la terminologie courante voire journalistique qui permet à l’investisseur de s’approprier le marché. Les expressions comme « crash boursier », « l’économie a le vent en poupe », « percée sur le front du chômage », « les cours dégringolent », « l’économie tombe en panne », etc. font légion. Du point de vue terminologique, les emprunts et les néologismes sont très courants, il n’est pas rare de rencontrer des termes comme « back bond », « balloon maturity », « block credit », « back office », « start up », « stock-options » pour ne citer que ceux-là. À l’inverse, les institutions financières utilisent des termes beaucoup plus techniques comme « bordereau d’escompte documenté », « certificat d’option à revenu », « charge sans impact sur les liquidités », etc. Ces raisons font que la traduction financière et économique peut s’avérer être un exercice déroutant, car requérant du traducteur en plus de compétences linguistiques avérées, un bagage culturel solide doublé d’une connaissance constamment actualisée du secteur.
À KALAMATRANS des linguistes qualifiés tiennent à cœur la qualité dans la traduction de…
– Rapports d’audit
– Manuels de procédures
– Notes de synthèse
– Journaux internes
– Rapports financiers
– Rapports de résultats périodiques
– Documents des ressources humaines
– Supports de formation
– Etc.